Les vaches que l’on viole littéralement pour obtenir leurs veaux qu’on leur arrache dès la naissance, qui eux-mêmes sont jetés loin de leurs mères. Transportées en surnombre dans des camions ou des cargos dans lesquels elles vivent l’enfer, piétinées, écrasées, pattes cassées, agonisantes des heures durant. C’est sans parler des conditions d’abattage qui soulèvent le coeur même aux moins sensibles d’entre nous. Les lapins et les poulets destinés à la nourriture vivent toute leur vie sur une surface à peine plus grande qu’une feuille A4 sans jamais voir le jour et j’en passe.
Si les abattoirs avaient des fenêtres, nous serions tous végétariens
Paul Mc Cartney